Ruisselant, ce regard d’amour
Ouvré des dignes poésies, est celui de notre mère
Kyrielle d’amour, t’as su nous protéger
Habilement contre vents et marées
Aujourd’hui, si la fatigue te gagne au point de te donner mal au dos
Y’a comme cause que les travaux
Anémiants, que tu faisais pour nous sans jamais te lamenter…
Nous t’avons par notre insouciance fait verser quelques pleurs
Opiniâtreté, c’était de la rosée pour les fleurs
Univalve, si quelques rides t’ont vieillie
Sache que tu resteras toujours la plus jolie
Ton nom devrait être la définition de la meilleure mère dans le dictionnaire
Alizé de la grande famille des Diagne/Diop/Niang et pourquoi pas Ba
Innocuité est le caractère de tes conseils, ici ou là bas
Même si nous ne sommes que quatre…
Ou devrons nous dire, des milliers à t’aimer
Nous te déclarons, devant Dieu et les hommes…
Seule
habilitée à recevoir le trophée de “mère du siècle »
DIAGNE Abdou